Mot du directeur général

Le numérique désormais à la direction générale de l’intégration.

L’une des missions essentielles de la direction générale de l’intégration (DGI) prescrite par le décret n° 2014-255 du 13 juin 2014, est de vulgariser le processus d’intégration auprès de la société civile, du secteur privé et des administrations publiques.

L’obstacle principal à la réalisation de cette mission a toujours été le manque d’outils de communication capables d’atteindre les différentes entités impliquées dans le processus d’intégration. D’où le faible niveau de participation et d’adhésion à ce processus faute de visibilité.

En se connectant au réseau internet, je suis persuadé que la DGI va dorénavant   intensifier sa communication grâce aux nombreuses possibilités offertes par ce nouvel instrument de communication. À savoir, la transmission d’importantes masses d’informations en temps réel. En effet, l’abondance et la variété des questions d’intégration nous imposent un effort surhumain de stockage et de diffusion des données. Ainsi, le lancement du présent site arrive à point nommé.

J’ose espérer que les quatre directions centrales de la DGI (direction des politiques et stratégies d’intégration, direction des communautés économiques sous régionales et régionales, direction du NEPAD et du MAEP, direction des affaires administratives et financières) sauront tirer un maximum de profit de cette nouvelle ère du numérique qui s’ouvre à notre direction générale.   Il en est de même pour les points focaux de l’intégration régionale en particulier, du public congolais et les internautes en général.

Une telle opportunité permettra, à coup sûr, aux acteurs de l’intégration régionale de dynamiser le processus d’intégration au moment où l’avenir des nations se définit plus que jamais dans le cadre de grands regroupements. À ce propos, madame Ingrid Olga Ghislaine EBOUKA-BABAKAS, ministre du plan, de la statistique et de l’intégration régionale est, on ne peut plus explicite lorsqu’elle a déclaré, à l’occasion de la célébration de la 10ème édition de la journée de la CEMAC, ce qui suit : « Du fait de la globalisation de l’économie, l’intérêt des regroupements régionaux pour améliorer la résilience aux chocs exogènes, prend ici tout son sens. ».

Nous comprenons mieux pourquoi le Congo avait choisi d’affronter, la crise économique et financière déclenchée en 2014 par une réponse adoptée dans le cadre de la CEMAC. Voilà qui a justifié la mise en œuvre du programme de reforme économique et financière des pays de la CEMAC (PREF-CEMAC) conduit par le chef de l’État congolais, son Excellence Denis SASSOU N’GUESSO, président dédié.

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