ACCROITRE LA VISIBILITE DE LA DGI
Dans le cadre de la célébration des 20 ans du pool Energétique de l’Afrique Centrale (PEAC), la direction générale de l’intégration a participé aux journées portes ouvertes sur l’intégration régionale organisées du 13 au 16 novembre dernier au Grand Hôtel de Kintélé sous le haut patronage de son excellence M. Denis Sassou N’guesso, président de la République, chef de l’Etat. Empêché, ce dernier a été représenté par son excellence M. Florent TSIBA, ministre d’Etat directeur de cabinet du chef de l’Etat.
Placé sous le thème : « Convertir le potentiel hydroélectrique de l’Afrique centrale en opportunité d’investissement », cet anniversaire a offert aux structures œuvrant dans le secteur énergétique en Afrique centrale l’occasion d’ériger des stands en vue d’informer le public sur leurs activités.
A l’instar de ces structures, la DGI, en sa qualité d’organe de suivi des activités des communautés économiques régionales et sous - régionales a mis à la disposition du public une riche documentation l’édifiant sur sa mission, sa vision, son code éthique, ses attributions, ses réalisations ainsi que son organisation.
« L’évènement, en fait c’est le 20ème anniversaire du PEAC. Etant donné que nous sommes la DGI, c’est-à-dire la porte d’entrée de tout ce qui concerne la CEEAC (...) et la CEMAC ; le PEAC étant une institution spécialisée de la CEEAC (…), cet évènement ne pouvait que nous intéresser au plus haut point… », a justifié M. Eric MBENDE, directeur général de l’intégration devant la presse.
« Cet évènement nous permet de montrer l’intégration régionale, de montrer la direction générale de l’intégration. Et, surtout qu’officiellement c’est la direction générale de l’intégration. Il n’y a pas régionale », a t-il précisé, tout en ajoutant « Qu’au Congo la question de l’intégration est très sensible. Quand on parle de l’intégration, les gens pensent à l’intégration à la fonction publique. C’est l’occasion de leur dire qu’il s’agit plutôt de l’intégration de la communauté économique des Etats de l’Afrique centrale. On veut que les onze (11) pays collaborent, que l’on circule librement… »